Études cliniques - le parcours menant un nouveau médicament à la patientèle
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Bristol Myers Squibb s’est donné une mission, à savoir la recherche, le développement et la mise sur le marché de médicaments. Mais comment les nouveaux médicaments arrivent-ils aux patients? La recherche scientifique constitue ici une étape essentielle. C’est à partir des résultats scientifiques obtenus par les laboratoires que les traitements sont perfectionnés dans le cadre de la recherche clinique, puis utilisés en clinique. Cette procédure permet de tester l’efficacité, la tolérabilité et la sécurité de nouveaux médicaments, de collecter ces données et de les soumettre à des tests stricts dans un processus d’autorisation de mise sur le marché par les autorités compétentes.
La recherche représente donc une étape importante pour le traitement et la guérison de certaines des maladies les plus complexes. La recherche explore par exemple des thérapies entièrement nouvelles pour les maladies pour lesquelles il n’existe pas encore d’options de traitement. S’il existe déjà des traitements possibles pour une maladie, les études cherchent comment les améliorer et les perfectionner, ou testent aussi des approches thérapeutiques entièrement nouvelles, par exemple des possibilités d’améliorer la qualité de vie des personnes concernées. Mais ce n’est pas tout: des études cliniques comportent de nombreux avantages pour les patients et patientes, les médecins et le site.
Quel bénéfice en tirent les patients?
Des études cliniques proposent aux personnes atteintes de maladies graves un accès précoce à des médicaments innovants. «Nous sommes une entreprise pharmaceutique impliquée dans la recherche et, en tant que telle, nous considérons que les études cliniques relèvent d’une responsabilité sociétale, déclare le Dr Eveline Trachsel, Directrice médicale Suisse-Autriche chez Bristol Myers Squibb.» En effet, les patients obtiennent un accès précoce aux traitements innovants qui ouvrent la voie à de nouvelles options de traitement, comme, par exemple l’immunothérapie pour les maladies cancéreuses. Stimuler le système immunitaire de l’organisme pour traiter un cancer ou de nombreuses autres maladies est un aspect essentiel pour les scientifiques de Bristol Myers Squibb.
Les traitements immuno-onconlogiques des cancers, par exemple, permettent au système immunitaire du patient de détecter les cellules tumorales et de les combattre par ses propres moyens. «Les immunothérapies représentent un grand espoir, car, dans certains secteurs, il existe à peine de traitements possibles, parfois même aucun traitement, rappelle Dr Trachsel qui a travaillé elle-même aux USA dans la recherche préclinique.» La première génération d’immunothérapies déjà , mais la deuxième également, toutes deux présentes chez BMS, ont donné à une partie des patients la chance de survivre plus longtemps. «Il est aujourd’hui impossible de faire abstraction de l’immuno-oncologie dans le traitement de nombreuses maladies cancéreuses, souligne Dr Trachsel.» Les nouvelles options de traitement ont même réussi à faire du cancer dans de nombreux secteurs une maladie chronique, un progrès qui n’aurait pas été possible sans la recherche clinique.
Quel bénéfice en tirent les médecins chercheurs?
La recherche clinique consacrée aux traitements est le plus souvent menée parallèlement dans plusieurs pays. Cela permet, d’une part, de minimiser l’influence de facteurs locaux sur le résultat d’une étude et, d’autre part, de réunir plus rapidement le nombre requis de sujets. Les médecins chercheurs qui effectuent la recherche clinique dans leurs services peuvent ainsi profiter d’une collaboration et d’un réseau hors frontières et participer à des recherches dans la médecine de pointe internationale.
La participation à une étude clinique est bien sûr toujours volontaire, les patients reçoivent au préalable des explications éclairées et sont suivis de près pendant l’étude. Les médecins chercheurs acquièrent ainsi très tôt des expériences avec des substances ultramodernes qui sont souvent les standards thérapeutiques de demain. Et ils gagnent dans leur pays et à l’étranger une renommée de spécialistes. «Ces deux facteurs profitent en Suisse au traitement de patients», précise Dr Eveline Trachsel.
Quel bénéfice en tire le site?
Sans recherche - pas de progrès. Les découvertes faites grâce à des études cliniques garantissent le progrès médical et le développement de nouvelles possibilités de traitement. La Suisse a une longue tradition dans la recherche clinique, et elle la poursuit encore aujourd’hui grâce à son infrastructure médicale moderne: au 23/09/2020 BMS menait en Suisse au total 60 études cliniques en coopération avec des hôpitaux universitaires et cantonaux. La collaboration renforce ainsi le site de recherche et la capacité novatrice du pays. Mais, avec la numérisation, la Suisse risque de se laisser distancer sur le plan international. L’avenir se situe dans les «Decentralised Clinical Trials», c’est-à -dire que les données sont stockées dans des appareils avant d’être transmises et, de cette façon, accélèrent le reste de la recherche. Pour les patients et patientes cela signifie moins de consultations à l’hôpital, un soulagement non seulement pour les malades, mais aussi pour les centres de recherche.
Il reste encore beaucoup à faire - La recherche poursuit sa route
Bristol Myers Squibb continue de s’engager avec détermination pour la recherche clinique en Suisse et en Autriche afin de soutenir la recherche de pointe dans les centres d’études. Avec le développement des connaissances médicales nous arrivons à progresser dans les options de traitements possibles; en effet, il reste encore de nombreuses maladies pour lesquelles les possibilités thérapeutiques sont limitées.
La recherche poursuit donc son chemin. «Une chose est très importante pour nous: la qualité de vie pendant et après une maladie doit impérativement être le centre de nos préoccupations, assure Dr Trachsel.» Bristol Myers Squibb a lancé l’initiative «Because there is more to do» afin de faire connaître la contribution de l’industrie pharmaceutique outre la mise sur le marché de médicaments: «Nous avons encore beaucoup de projets, dans la recherche bien sûr, mais aussi comme membre de la société, confie Dr Eveline Trachsel, Directrice médical Suisse-Autriche.»
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<p>La recherche représente donc une étape importante pour le traitement et la guérison de certaines des maladies les plus complexes. La recherche explore par exemple des thérapies entièrement nouvelles pour les maladies pour lesquelles il n’existe pas encore d’options de traitement. S’il existe déjà des traitements possibles pour une maladie, les études cherchent comment les améliorer et les perfectionner, ou testent aussi des approches thérapeutiques entièrement nouvelles, par exemple des possibilités d’améliorer la qualité de vie des personnes concernées. Mais ce n’est pas tout: des études cliniques comportent de nombreux avantages pour les patients et patientes, les médecins et le site.</p>
<p><b>Quel bénéfice en tirent les patients?</b></p>
<p>Des études cliniques proposent aux personnes atteintes de maladies graves un accès précoce à des médicaments innovants. «Nous sommes une entreprise pharmaceutique impliquée dans la recherche et, en tant que telle, nous considérons que les études cliniques relèvent d’une responsabilité sociétale, déclare le Dr Eveline Trachsel, Directrice médicale Suisse-Autriche chez Bristol Myers Squibb.» En effet, les patients obtiennent un accès précoce aux traitements innovants qui ouvrent la voie à de nouvelles options de traitement, comme, par exemple l’immunothérapie pour les maladies cancéreuses. Stimuler le système immunitaire de l’organisme pour traiter un cancer ou de nombreuses autres maladies est un aspect essentiel pour les scientifiques de Bristol Myers Squibb.</p>
<p>Les traitements immuno-onconlogiques des cancers, par exemple, permettent au système immunitaire du patient de détecter les cellules tumorales et de les combattre par ses propres moyens. «Les immunothérapies représentent un grand espoir, car, dans certains secteurs, il existe à peine de traitements possibles, parfois même aucun traitement, rappelle Dr Trachsel qui a travaillé elle-même aux USA dans la recherche préclinique.» La première génération d’immunothérapies déjà , mais la deuxième également, toutes deux présentes chez BMS, ont donné à une partie des patients la chance de survivre plus longtemps. «Il est aujourd’hui impossible de faire abstraction de l’immuno-oncologie dans le traitement de nombreuses maladies cancéreuses, souligne Dr Trachsel.» Les nouvelles options de traitement ont même réussi à faire du cancer dans de nombreux secteurs une maladie chronique, un progrès qui n’aurait pas été possible sans la recherche clinique.</p>
<p><b>Quel bénéfice en tirent les médecins chercheurs?</b></p>
<p>La recherche clinique consacrée aux traitements est le plus souvent menée parallèlement dans plusieurs pays. Cela permet, d’une part, de minimiser l’influence de facteurs locaux sur le résultat d’une étude et, d’autre part, de réunir plus rapidement le nombre requis de sujets. Les médecins chercheurs qui effectuent la recherche clinique dans leurs services peuvent ainsi profiter d’une collaboration et d’un réseau hors frontières et participer à des recherches dans la médecine de pointe internationale.</p>
<p>La participation à une étude clinique est bien sûr toujours volontaire, les patients reçoivent au préalable des explications éclairées et sont suivis de près pendant l’étude. Les médecins chercheurs acquièrent ainsi très tôt des expériences avec des substances ultramodernes qui sont souvent les standards thérapeutiques de demain. Et ils gagnent dans leur pays et à l’étranger une renommée de spécialistes. «Ces deux facteurs profitent en Suisse au traitement de patients», précise Dr Eveline Trachsel.</p>
<p><b>Quel bénéfice en tire le site?</b></p>
<p>Sans recherche - pas de progrès. Les découvertes faites grâce à des études cliniques garantissent le progrès médical et le développement de nouvelles possibilités de traitement. La Suisse a une longue tradition dans la recherche clinique, et elle la poursuit encore aujourd’hui grâce à son infrastructure médicale moderne: au 23/09/2020 BMS menait en Suisse au total 60 études cliniques en coopération avec des hôpitaux universitaires et cantonaux. La collaboration renforce ainsi le site de recherche et la capacité novatrice du pays. Mais, avec la numérisation, la Suisse risque de se laisser distancer sur le plan international. L’avenir se situe dans les «Decentralised Clinical Trials», c’est-à -dire que les données sont stockées dans des appareils avant d’être transmises et, de cette façon, accélèrent le reste de la recherche. Pour les patients et patientes cela signifie moins de consultations à l’hôpital, un soulagement non seulement pour les malades, mais aussi pour les centres de recherche.</p>
<p><b>Il reste encore beaucoup à faire - La recherche poursuit sa route</b></p>
<p>Bristol Myers Squibb continue de s’engager avec détermination pour la recherche clinique en Suisse et en Autriche afin de soutenir la recherche de pointe dans les centres d’études. Avec le développement des connaissances médicales nous arrivons à progresser dans les options de traitements possibles; en effet, il reste encore de nombreuses maladies pour lesquelles les possibilités thérapeutiques sont limitées.</p>
<p>La recherche poursuit donc son chemin. «Une chose est très importante pour nous: la qualité de vie pendant et après une maladie doit impérativement être le centre de nos préoccupations, assure Dr Trachsel.» Bristol Myers Squibb a lancé l’initiative «Because there is more to do» afin de faire connaître la contribution de l’industrie pharmaceutique outre la mise sur le marché de médicaments: «Nous avons encore beaucoup de projets, dans la recherche bien sûr, mais aussi comme membre de la société, confie Dr Eveline Trachsel, Directrice médical Suisse-Autriche.»</p>
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